EIT

Les événements organisés incluent :

• La table ronde de sensibilisation en novembre dernier, pour lancer le projet et échanger sur les enjeux de l’EIT.

• La visite d’entreprises en janvier dernier, pour découvrir des exemples concrets d’initiatives EIT.

• L’atelier collaboratif en février dernier, où les entreprises identifieront des synergies et des opportunités de collaboration.

• L’enquête sur les flux, visant à analyser les ressources et les opportunités d’optimisation des flux entre les entreprises.

La phase 1 du projet d’écologie industrielle et territoriale (EIT), a permis de poser les bases d’une dynamique collaborative entre entreprises locales. Grâce à l’enquête terrain et à l’atelier collaboratif, plusieurs données clés ont émergé :

• 30 entreprises mobilisées lors de l’atelier collaboratif : des échanges concrets ont permis de croiser besoins et ressources entre acteurs économiques du territoire.

• 96 synergies identifiées : révélant un fort potentiel de coopération (échanges de matières, services, compétences…).

• 21 rendez-vous B to B programmés : pour approfondir certaines synergies détectées et accompagner leur mise en œuvre.

• 32 répondants à l’enquête : démontrant un réel intérêt du tissu économique local pour la démarche.

• 10 enquêtes quantitatives et 10 qualitatives menées : combinant données chiffrées et retours d’expérience pour affiner l’analyse.

• 3 projets concrets de mutualisation à l’étude : autour de la mobilité partagée des salariés, de la valorisation des déchets, et de la mutualisation d’espaces ou de compétences.

Ces premiers résultats confirment que le territoire est prêt à s’engager dans des actions collectives et durables, avec une forte volonté des entreprises de collaborer pour concilier performance économique et impact environnemental.

À l’issue de la phase 1, trois grands projets structurants ont été mis en lumière :

• La gestion partagée de la mobilité des salariés : des réflexions sont en cours pour optimiser les déplacements domicile-travail via des solutions mutualisées, comme le covoiturage inter-entreprises ou des navettes partagées.

• La valorisation et mutualisation des déchets : certaines entreprises génèrent des déchets valorisables pour d’autres. Le projet vise donc à structurer un système local d’échange ou de traitement mutualisé pour réduire les coûts et les impacts environnementaux.

• La mutualisation d’espaces et de compétences : de nombreuses structures ont exprimé le besoin ou l’envie de partager des ressources humaines, du matériel ou même des locaux. Cela permettrait de réduire les charges fixes et de créer de nouvelles synergies locales.

Ces pistes ouvrent la voie à des solutions concrètes et durables, portées collectivement par les acteurs économiques du territoire.